Dès le début du confinement, je passe énormément de temps à regarder par ma fenêtre.
Quand je plonge mon regard vers l’extérieur je pense à la liberté qu’on a perdue à cause de ce virus, je pense à tout le temps que je perdais en restant chez moi au lieu de faire des connaissances, connaître le nouveau monde et savourer toutes les beautés que la planète avait à nous offrir.
On se rend compte de la beauté des choses seulement quand on les a perdues. De ma fenêtre tous les matins un rayon de soleil se fait apercevoir, et ça me donne de l’espoir, que dès la fin de ce confinement je vais profiter plus de ma vie, car on
ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve.
De ma fenêtre tous les matins je vois un aigle voler et cela sera moi dès la fin du confinement. Je vais voler à la découverte du monde avec de meilleures habitudes.
Priscillia Degnide, classe 1C4 du Gymnase d'Yverdon