1. Pendant combien de temps serai-je protégé contre une maladie après la vaccination ?

Environ 14 jours après l’administration de la deuxième dose de vaccin à ARNm, vous bénéficiez d’une protection optimale contre la maladie. Dans le cas du vaccin à vecteur viral de Janssen, la protection est attendue environ 21 jours après l’administration de l’unique dose. Pour l’heure, il n’est pas certain pendant combien de temps la vaccination est efficace. Selon l’état actuel de la recherche, la durée de protection probable contre une forme grave de la maladie est d’au moins 12 mois pour les vaccins à ARNm. Il n’existe actuellement pas d’indices selon lesquels cette protection diminue par la suite. Il est toutefois possible que des vaccinations de rappel soient nécessaires à l’avenir après l’administration de la deuxième dose de vaccin. Nous étudions actuellement dans quelle mesure un rappel est nécessaire et une communication suivra sous peu à ce sujet.

Attention : continuez à suivre les règles d’hygiène et de conduite et à respecter l’obligation de porter un masque lorsqu’elle s’applique.

Toutefois, si vous êtes complètement vacciné, vous pouvez vous abstenir de garder vos distances lors de rencontres privées avec d’autres personnes vaccinées. Au cours des 12 mois suivant l’administration de la deuxième dose du vaccin, vous n'avez pas non plus besoin de vous placer en quarantaine après un contact étroit avec une personne testée positive. Par ailleurs, vous êtes exempté de l’obligation de présenter un test négatif pour entrer en Suisse. Vous trouverez d’autres informations à ce sujet sur la page Entrée en Suisse.

 

2. Je ne fais pas partie des personnes vulnérables. Pourquoi devrais-je quand même me faire vacciner contre le COVID-19 ?

Quelques bonnes raisons, pour les adultes, de se faire vacciner :

  • La vaccination vous protège du COVID-19. Même si beaucoup de personnes ne développent pas de symptômes ou seulement une forme légère de cette maladie, des complications graves sont possibles.
  • Une infection au nouveau coronavirus peut laisser des séquelles (p. ex., difficultés à respirer en cas d’effort ou fatigue). Les personnes jeunes et en bonne santé n’en sont pas à l’abri. La vaccination prévient ceci en amont en réduisant le risque de contamination.
  • La vie sociale et économique est fortement limitée par le coronavirus. En vous faisant vacciner, vous contribuez à réduire le nombre de malades et moins il y aura de personnes atteintes du coronavirus, plus vite il sera possible de retrouver un quotidien normal.
  • Pour les personnes vaccinées, la probabilité d’une infection au coronavirus est nettement plus faible que chez les personnes non vaccinées. Le risque de transmission à d’autres personnes est ainsi réduit. Une vaccination est donc particulièrement importante pour les personnes vulnérables dans votre famille, dans votre ménage ou dans votre entourage professionnel. En effet, il existe des personnes vulnérables qui ne peuvent pas se faire vacciner pour des raisons médicales ou des personnes chez lesquelles le vaccin n’agit pas très bien parce que leur système immunitaire est affaibli.

 

3. Quel vaccin est recommandé à quelles personnes ?

De manière générale, nous recommandons les vaccins à ARNm à toutes les personnes dès 12 ans. Ces produits offrent la meilleure protection contre le COVID-19 et ses éventuelles séquelles.

Le vaccin à vecteur viral de Janssen est recommandé :

  • aux personnes dès 18 ans qui ne peuvent pas recevoir de vaccins à ARNm pour des raisons médicales ;
  • aux personnes dès 18 ans qui refusent les vaccins à ARNm.

Attention : cette recommandation ne s’applique pas aux femmes enceintes et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Ces groupes de personnes devraient si possible recevoir un vaccin à ARNm.

 

4. Quelles sont les personnes pour lesquelles la vaccination n’est actuellement pas prévue ?

Il n’est pas prévu d’administrer les vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna aux personnes suivantes :

  • Les personnes qui présentent une forte allergie attestée à l’un des composants du vaccin (en particulier le PEG des vaccins à ARNm).

Les personnes ne pouvant pas recevoir de vaccins à ARNm pour des raisons médicales peuvent, après avoir obtenu un conseil médical, se faire vacciner avec le vaccin à vecteur viral de Janssen. Il n’existe que très peu de situations qui ne permettent pas de se faire vacciner contre le COVID-19. Dans ces cas, un médecin peut délivrer un certificat attestant que la vaccination (complète) n’est pas possible pour des raisons médicales.

Pour les personnes suivantes, une vaccination contre le COVID-19 n’est pour le moment pas recommandée :

  • Les enfants de moins de 12 ans. Il manque actuellement les données sur des essais correspondants.

 

5. La vaccination contre le COVID-19 est-elle recommandée si je suis enceinte ou envisage d’avoir un enfant ?

Nous vous recommandons de vous faire vacciner contre le COVID-19 avant ou pendant la grossesse. En effet, les évolutions graves de la maladie sont beaucoup plus fréquentes chez les femmes enceintes que chez les femmes du même âge qui ne sont pas enceintes. De plus, le risque de naissance prématurée est nettement plus élevé si vous contractez le coronavirus pendant la grossesse. La vaccination avant ou pendant la grossesse vous protège et protège l’enfant à naître.

Vous prévoyez une grossesse ? Alors faites-vous vacciner dès que possible.

Vous êtes déjà enceinte et n’avez pas encore été vaccinée ? Dans ce cas, nous vous recommandons de le faire à partir de la 12e semaine de grossesse. Vous pouvez toutefois également vous faire vacciner plus tôt.

Si vous êtes enceinte ou envisagez d’avoir un enfant et que vous avez des questions sur la vaccination, veuillez vous adresser à votre médecin ou à une sage-femme.

Plus de questions fréquentes sur grossesse et allaitement maternel

 

6. Dois-je encore me mettre en quarantaine après ma vaccination ?

Si vous êtes complètement vacciné, vous n’avez pas besoin, après un contact étroit avec une personne testée positive, de vous mettre en quarantaine (quarantaine-contact) pendant 12 mois à partir du moment où la vaccination est complète. Vous trouverez davantage d’informations à ce sujet sur la page Isolement et quarantaine.

Malgré l’exemption de quarantaine :

Continuez de suivre les règles d’hygiène et de conduite ainsi que les consignes sur le port du masque. En effet, dans certains cas, les personnes vaccinées peuvent également transmettre le virus à d’autres personnes. Pour les personnes vaccinées, la probabilité d’une infection au coronavirus est nettement plus faible que chez les personnes non vaccinées. Le risque de transmission à d’autres personnes est ainsi réduit.

Si vous êtes complètement vacciné, vous êtes exempté de l’obligation de présenter un résultat de test négatif pour entrer en Suisse. Vous trouverez de plus amples informations sur la page Entrée en Suisse.

 

7. Comment a-t-il été possible de développer si rapidement des vaccins contre le nouveau coronavirus ?

Pour les vaccins contre le nouveau coronavirus, les différentes phases du développement ont été menées en parallèle, ce qui a permis de gagner du temps. D’ordinaire, ces phases ont lieu les unes après les autres.

Les aspects suivants ont également contribué à ce développement rapide :

  • Les recherches sur les caractéristiques du coronavirus ont été menées à un rythme soutenu, et leurs résultats mis à la disposition de tous.
  • Certaines ressources de recherche et de développement ont été utilisées exclusivement en vue de fabriquer un vaccin contre le nouveau coronavirus.
  • De fabricants de vaccins importants et expérimentés ont eu la possibilité de mener des études efficacement et rapidement.
  • Ces dernières années, la technique de vaccination utilisant l’ARNm a fait l’objet de recherches intensives, qui ont posé les bases technologiques nécessaires au développement et à la fabrication rapides de ce type de vaccin.

En outre, la procédure d’autorisation par Swissmedic a été menée en accéléré. En temps normal, les résultats des phases cliniques I à III sont examinés ensemble. Pour le vaccin contre le COVID-19, Swissmedic a reçu et examiné les études au fur et à mesure. Cependant, les exigences en termes d’efficacité et de sécurité restent les mêmes que lors d’une procédure d’autorisation ordinaire. Swissmedic ne délivrera d’autorisation de mise sur le marché en Suisse que s’il peut confirmer l’efficacité, la sécurité et la qualité du vaccin.

 

8. Quels vaccins contre le COVID-19 sont utilisés en Suisse ?

Les vaccins ci-après sont actuellement utilisés en Suisse :

Vaccin de Pfizer/BioNTech
Le vaccin produit par Pfizer/BioNTech (Comirnaty®) a été autorisé par Swissmedic le 19 décembre 2020. La Suisse en obtiendra 6 millions de doses qui seront livrées de manière échelonnée sur plusieurs mois. Ce vaccin utilise la technologie ARNm.

Vaccin de Moderna
Le vaccin de (COVID-19 Vaccine Moderna®) a été autorisé par Swissmedic le 12 janvier 2021. La Suisse en obtiendra 13,5 millions de doses qui seront livrées de manière échelonnée sur plusieurs mois. Le vaccin de Moderna utilise aussi la technologie ARNm.

Vaccin de Janssen
Le vaccin de Janssen (COVID-19 Vaccine Janssen®) a été autorisé par Swissmedic le 22 mars 2021. La Suisse en a obtenu 150 000 doses, qui seront livrées en octobre 2021. Il s’agit d’un vaccin à vecteur viral.

 

9. Puis-je choisir parmi les vaccins autorisés en Suisse ? Qui décide quel vaccin me sera administré ?

Actuellement, pour les vaccins à ARNm, il n’est pas possible de choisir entre celui de Pfizer/BioNTech et celui de Moderna. Les deux vaccins sont équivalents en termes d’efficacité et de sécurité. De ce fait, ils sont administrés aux mêmes groupes cibles.

À l’heure actuelle, le choix entre les deux vaccins à ARNm dépend avant tout de leur disponibilité en Suisse.

Si, pour des raisons médicales, vous ne pouvez pas recevoir un vaccin à ARNm (p. ex. en raison d’une allergie grave à l’un des composants) ou si vous refusez un vaccin à ARNm, vous pouvez vous faire vacciner avec le vaccin à vecteur viral de Janssen, à condition d’avoir plus de 18 ans et de ne pas être enceinte ou d’allaiter.

 

10. Qu’est-ce que l’ARNm et comment fonctionne un vaccin à ARNm ?

ARNm signifie « acide ribonucléique messager ». Le corps humain en produit naturellement et en a besoin pour fabriquer des protéines vitales.

L’ARNm présent dans le vaccin fournit au corps des informations sur le coronavirus. Le corps peut ainsi produire des protéines du virus. Ces dernières sont ensuite détectées comme étrangères, ce qui provoque une réaction immunitaire : l’organisme se prépare à combattre le virus. En cas de contamination, les défenses immunitaires s’activeront plus rapidement, ce qui rendra vite le virus inoffensif et évitera la maladie.

Même si la technologie des vaccins ARNm n’est pas encore répandue, elle fait l’objet de recherches dans le monde entier depuis déjà dix ans environ. De plus, d’autres vaccins de ce type ont déjà été testés dans le cadre d’essais.

Les vaccins des fabricants Moderna et Pfizer/BioNTech sont à ARNm.

L’ARNm transmis avec le vaccin ne peut pas pénétrer dans le noyau des cellules et s’intégrer au génome humain (ADN).

Autre FAQ sur le sujet: Un vaccin à ARNm peut-il modifier mon patrimoine génétique (ADN) ?

 

11. Comment fonctionne un vaccin à vecteur ?

Les vaccins à vecteur utilisent une bactérie ou un virus inoffensif comme moyen de transport (vecteur). Ce moyen de transport fournit à l’organisme les informations nécessaires pour mettre en place une réponse immunitaire protectrice contre un agent pathogène. Dans le cas de la vaccination contre le coronavirus, il s’agit de l’information génétique (ADN) de sa protéine Spike (une petite partie seulement du virus).

Comme vecteur, on peut utiliser un virus inoffensif (par exemple l’adénovirus, un des virus à l’origine des refroidissements). Les virus sont modifiés de telle sorte qu’ils peuvent pénétrer dans certaines cellules humaines, mais ne peuvent pas se multiplier, ni donc rendre la personne vaccinée malade.

Après l’administration du vaccin, les vecteurs pénètrent dans les cellules du corps, qui produisent alors la protéine Spike du coronavirus. Les protéines produites sont reconnues comme étrangères et l’organisme déclenche une réponse immunitaire. Si la personne vaccinée entre ensuite en contact avec le coronavirus, le système immunitaire l’identifie rapidement et le rend inoffensif. Ainsi, la maladie peut être évitée.

Les vaccins contre le COVID-19 de Janssen et d’AstraZeneca sont des vaccins à vecteur.

 

12. Quels effets secondaires peuvent apparaître après la vaccination ?

Les vaccins administrés en Suisse sont sûrs et efficaces. Comme tous les médicaments, ils peuvent provoquer des effets secondaires, généralement bénins et de courte durée.

Les effets secondaires les plus fréquents comprennent :

  • des réactions au point de piqûre, comme des douleurs, des rougeurs et des gonflements ;
  • des maux de tête, de la fatigue ;
  • des douleurs musculaires et articulaires ;
  • des symptômes généraux légers, tels que des frissons, une sensation de fièvre ou fièvre.

Très rarement, on observe des effets secondaires graves, par exemple une réaction allergique, qui apparaît généralement tout de suite après la vaccination et peut être facilement traitée. Des mesures spécifiques de précaution doivent être prises pour les personnes ayant eu des réactions allergiques sévères par le passé.

Dans de très rares cas, une inflammation du muscle cardiaque (myocardite) ou du péricarde a été observée peu après la vaccination avec un vaccin à ARNm (en règle générale, dans les quatorze jours suivant l’injection). Un lien avec la vaccination est actuellement considéré comme possible. La plupart de ces cas étaient bénins et ont pu être traités facilement. Les symptômes typiques d’une inflammation du muscle cardiaque sont des douleurs thoraciques, des difficultés respiratoires, une sensation d’épuisement et des palpitations. Si vous présentez de tels symptômes, consultez immédiatement votre médecin.

De manière isolée, des formes rares de thromboses ont été observées dans les trois semaines suivant l’administration du vaccin de Janssen (surtout des thromboses veineuses cérébrales ou splanchniques, mais également des thromboses artérielles). Ces événements étaient graves, mais ne sont que très rarement survenus (1-8 cas pour un million de personnes) après une vaccination avec le produit de Janssen.

Abstraction faite de ce qui précède, aucun fait marquant concernant des effets secondaires graves n’a à ce jour été constaté dans le cadre des études ni chez les personnes vaccinées depuis l’autorisation des vaccins. Les experts surveillent attentivement les éventuels indices.

Les effets secondaires graves doivent être signalés. Le service de déclaration de Swissmedic examine les annonces et, en cas de faits marquants (p. ex. fréquence accrue de certaines notifications), lance un examen visant à établir un lien éventuel avec la vaccination. 

 

13. Par le passé, il m’est arrivé d’avoir des vertiges ou de m’évanouir après l’administration d’un vaccin. Cela risque-t-il aussi de se produire lors de la vaccination contre le COVID-19 ?

Il arrive, dans certains cas, que des personnes aient des vertiges ou perdent brièvement connaissance pendant ou peu après la vaccination. En parallèle, des symptômes tels que palpitations, faiblesse ou sueurs froides peuvent survenir. Il s’agit d’une réaction de stress liée à l’injection et à la douleur. Cette réaction est désagréable, mais n’est en rien dangereuse. Elle peut également se produire lors de la vaccination contre d’autres maladies.

Normalement, la personne concernée est rétablie quelques minutes plus tard, et il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Néanmoins, ces symptômes peuvent occasionner des blessures en cas de chute. Si vous avez présenté de tels symptômes lors d’une vaccination antérieure, il est donc important de le signaler, avant l’administration du vaccin, au professionnel de la santé qui vous prend en charge. L’injection pourra alors être effectuée en position couchée. En cas de nervosité avant la vaccination, vous pouvez essayer de vous détendre en respirant lentement et en comptant jusqu’à dix. Vous pouvez aussi opter pour d’autres méthodes de relaxation.

 

14. Puis-je me faire vacciner même si j’ai une allergie ?

Vous pouvez vous faire vacciner même si vous avez une allergie à un aliment, au pollen, aux acariens, aux animaux, aux venins d’insectes, au latex ou à des médicaments autres que les vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna. Vous pouvez également vous faire vacciner même si vous avez fortement réagi dans le passé à un autre vaccin ou à un médicament. En effet, chaque vaccin et chaque médicament a une composition spécifique qui ne provoque pas forcément de réaction allergique.

Pour tous les vaccins : chaque personne reste en observation pendant au moins 15 minutes après l’administration de la dose. Ainsi, un traitement immédiat est garanti en cas de forte réaction allergique.

Le vaccin contre le COVID-19 n’est pas recommandé si vous avez une forte allergie attestée à un de ses composants.

En effet, des réactions allergiques marquées sont surtout survenues chez des personnes souffrant de fortes allergies confirmées. En ce qui concerne le vaccin de Pfizer/BioNTech, les réactions allergiques étaient probablement dues au polyéthylène glycol (PEG). Le PEG fait partie du vaccin de Pfizer/BioNTech et de celui de Moderna. Toutefois, les réactions allergiques marquées sont très rares.

Les personnes ne pouvant pas recevoir de vaccins à ARNm pour des raisons médicales peuvent, après avoir obtenu un conseil médical, se faire vacciner avec le vaccin à vecteur viral de Janssen.

En cas de questions ou de doutes, nous vous recommandons de demander conseil au médecin responsable.

Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet sur aha! Centre d’Allergie Suisse.

Plus de questions fréquentes sur les effets secondaires et responsabilité

 

15. Combien coûte la vaccination et qui la paie ?

La vaccination contre le COVID-19 est gratuite pour toutes les personnes résidant en Suisse. Les coûts sont pris en charge par l’AOS, la Confédération et les cantons.

La vaccination en Suisse est en outre gratuite pour les frontaliers ainsi que pour les Suisses de l’étranger et les membres de leur famille proche vivant dans le même ménage. La Confédération prend en charge les frais de vaccination pour les personnes sans assurance-maladie obligatoire en Suisse.

Vous trouverez des informations détaillées sur la prise en charge des coûts de vaccination sur la page Vaccin.

 

16. Puis-je me faire vacciner dans un autre canton ?

Oui, vous êtes libre de choisir l’endroit où vous souhaitez vous faire vacciner. La convention tarifaire s’applique dans toute la Suisse. La vaccination est donc indépendante du lieu de résidence ou du lieu où vous suivez un traitement.

Il appartient toutefois aux cantons de réglementer l’accès à la vaccination. Il se peut que certains proposent la vaccination aux seuls résidents du canton.

 

17. J’ai une question sur la vaccination. À qui puis-je demander conseil ?

Vous pouvez demander conseil à plusieurs endroits, par exemple à votre médecin, dans votre pharmacie ou en téléphonant à l’infoline dédiée au +41 800 88 66 44.

Les informations sur le moment et le lieu de vaccination sont disponibles auprès de votre canton. Vous trouverez la liste des sites cantonaux en cliquant sur ce lien : www.ofsp-coronavirus.ch/cantons.

 

Toutes les questions fréquentes sur la vaccination (site de la Confédération)

Page du Canton de Vaud dédiée à la Semaine de la vaccination

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