Ce périmètre s’étend à proximité des berges boisées du lac, à cheval entre la Thièle, le canal du Mujon et jusqu’au canal du Bey. Il comprend plusieurs parcs et des espaces importants aux abords de la Thièle.

Dans l’ensemble, les répondant·e·s se disent plutôt satisfait·e·s de leurs espaces de proximité qui sont, pour la plupart, bien connus et appréciés. Seul l’espace attenant à Polyval semble méconnu. La Marive est, quant à elle, l’espace le plus connu mais faiblement utilisé. L’espace le plus utilisé est le parc des Cygnes, mentionné par la moitié des répondant·e·s, devant le Coin de Terre et le parc du Mujon. Les répondant·e·s du périmètre se sont mobilisé·e·s en faveur du réaménagement de la place des Foulques, très fréquentée. Des inquiétudes quant au réaménagement de la cour d’école et à l’absence de jeux pendant la période transitoire avant le chantier ont été évoquées (à noter que le sondage a été réalisé avant la pose du container de jeux).

Dans ce périmètre, profiter de la nature et se rencontrer sont les activités principalement souhaitées dans les espaces identifiés. Les événements organisés au parc du Mujon ont démontré que ce lieu peut être animé et joyeusement habité.

Ce vaste périmètre s’étend de l’avenue de Grandson à la plaine de l’Orbe, de la Thièle au Bey. Les espaces publics sont essentiellement constitués de cours d’école et de petits espaces verts.

En l’absence de parc principal, ce sont les collèges qui représentent les espaces publics les plus utilisés. Lors des marches exploratoires, les personnes interrogées ont évoqué une certaine inégalité de traitement au sein du quartier avec, d’un côté, des pavillons et leurs jardins, et de l’autre, les blocs résidentiels moins bien dotés en espaces extérieurs de qualité. Des lieux de rencontre ombragés seraient fortement appréciés, ainsi que des usages diversifiés pour favoriser la mixité et le dynamisme du quartier.

La place du Temple, qui accueillait les événements organisés dans le cadre de la démarche, ressort comme le lieu à améliorer en priorité.

Comprenant le centre historique et ses abords directs, ainsi que le secteur de la gare, ce quartier est doté d’espaces publics d’importance et de quelques parcs.

Le centre-ville est le périmètre les plus apprécié par ses habitant·e·s répondant.e.s. La place Pestalozzi concentre la plus forte utilisation, devant le parc du Castrum. La place d’Armes et celle de la Gare sont considérées comme les lieux à améliorer en priorité.

En règle générale, les riverain·e·s participant·e·s se connaissent et se rencontrent dans les différents espaces. La situation centrale entraîne, selon les lieux, quelques conflits d’usage. Toutefois, une augmentation des activités socio-culturelles y est souhaitée.

S’articulant entre la Thièle au nord et la plaine de l’Orbe à l’ouest et au sud, ce périmètre comprend deux petits parcs et des installations sportives aux Isles et sous l’autoroute.

Près de la moitié des sondé·e·s apprécie les espaces du quartier. L’autre moitié est plus mitigée. Le parc de l’Indépendance, bien aménagé et végétalisé, est l’espace le plus utilisé, suivi par les terrains de sport des Isles. Ayant un grand potentiel d’amélioration, la rue des Moulins a été identifiée comme l’espace à améliorer en premier lieu.

Les activités organisées à proximité du collège du Pré-du-Canal ont connu un franc succès, en particulier le tournoi de pétanque et l’animation pizza.

Traversé par le canal du Buron, ce périmètre englobe le quartier de Pierre-de-Savoie à l’ouest, le Parc Scientifique et Technologique (PST) au sud, et le quartier des Bains à l’est. Le parc historique d’Entremonts et le parc Pierre-de-Savoie (ou Jardins de poche, à côté du collège) représentent les principaux espaces publics.

Bien que peu utilisée, la rue Jean-André Venel ressort comme l’espace à améliorer en priorité, devant le terrain de football de la Passerelle et le collège de la Passerelle. Les différentes animations organisées dans ce périmètre ont permis de révéler que la population répond présente autour de la placette de la rue de l’Hôpital.

Étendu sur près de 6 kilomètres et partageant une structure d’habitat plus dispersée, ce périmètre – qui englobe les deux parties du coteau, ainsi que les hameaux de Sermuz et Gressy – est vaste mais composé essentiellement de maisons individuelles avec jardins privés. Les résultats pour ce périmètre sont donc à pondérer par rapport à la répartition des répondant·e·s.

Bien que dispersée, la moitié des répondant·e·s connaît la Maison Blanche et le stand de tir. À Gressy, ce sont la place du Temple et le parking public qui sont les plus utilisés. Dans le coteau, hormis la chaussée, il y a peu d’espaces pour organiser des événements.

Les habitant·e·s se retrouvent davantage les uns chez les autres et profitent de leurs jardins. Certaines personnes sondées ont également pointé la problématique de la sécurité routière qui n’encourage pas à utiliser davantage les espaces publics.

Situé au pied du coteau et de part et d’autre des voies ferrées, ce périmètre englobe les quartiers de la Prairie, des Quatre-Marronniers et Sous-Bois à l’ouest et celui de la Villette à l’est. Il comprend trois parcs de tailles différentes et des petits espaces publics en lien avec des commerces et des écoles.

Les répondant·e·s se disent majoritairement satisfait·e·s de leurs espaces publics. Le parc Arkina, très utilisé, a été identifié comme étant l’espace devant être amélioré en priorité tout comme la placette de la Villette, qui est fréquemment traversée mais très peu utilisée en raison de l’absence d’assises.